Après le «moineau-canique en escale technique à Toronto», voici le «matou-matique en classe économique à Chicago».
Je m'en susurre la mouche et m'en fissure le bleu de travail au noir de suie.
De tous temps l'acnée a été à la mode chez les jeunes.
Grain de sel, grain de sable.
Plein de ciel, plein de sable.
C'est aux artistes et non à l'Histoire de faire ou de défaire les héros.
Je déteste les grattages de fonds de l'âme.
vendredi, avril 28, 2006
dimanche, avril 16, 2006
Une mouette, la mer et des voiles. Un tableau moche à donner le mal de mer éclaboussant sur une eau trouble oculaire en écume de mer. Je pisse dans les embruns et en prends plein la gueule. La note est vraiment trop salée, je retourne à mon piano.
Eh le marin ! Retourne chez ta mer !
Le Pinatubo en 91 ? Je sais, je sais, j'avoue, c'est ma faute. Je suis désolé, d'accord ? Je m'excuse. Que voulez-vous que je fasse de plus ? Réparer ? Mais je ne peux pas ! Impossible de trouver ces pièces-là de nos jours. On ne les fait plus. On savait faire des volcans dans le temps. Alors qu'aujourd'hui...
Eh le marin ! Retourne chez ta mer !
Le Pinatubo en 91 ? Je sais, je sais, j'avoue, c'est ma faute. Je suis désolé, d'accord ? Je m'excuse. Que voulez-vous que je fasse de plus ? Réparer ? Mais je ne peux pas ! Impossible de trouver ces pièces-là de nos jours. On ne les fait plus. On savait faire des volcans dans le temps. Alors qu'aujourd'hui...
Valise no 102:
Souvenirs de montres molles et de chats mous.
Une clé à molette et une perte à la roulette.
Russophone.
Une charnière décharnée ouvrant sur un charnier.
Un fort courant et une course folle.
Un nuage qu'une mouette affolle.
Une rivière dans un bac à glace et un froid de glacier.
Un bûcheron ivre et son arbre à came en tête.
Moteur !
On tourne espèce d'étourdi !
Grand rêveur ayant perdu sa clé des songes.
De quoi rêver et laisser songeur.
Souvenirs de montres molles et de chats mous.
Une clé à molette et une perte à la roulette.
Russophone.
Une charnière décharnée ouvrant sur un charnier.
Un fort courant et une course folle.
Un nuage qu'une mouette affolle.
Une rivière dans un bac à glace et un froid de glacier.
Un bûcheron ivre et son arbre à came en tête.
Moteur !
On tourne espèce d'étourdi !
Grand rêveur ayant perdu sa clé des songes.
De quoi rêver et laisser songeur.
vendredi, avril 14, 2006
- Alors il y a des hauts et des bas ?
- Non. Plutôt des orbites.
- Hautes et basses ?
Que le monde est vaste à celui qui s'ouvre !
- Et vous, vous êtes ?
- Surmédicamenté ! Bonjour !
Très fort taux de suicide chez les grands chefs cuisiniers. Est-ce qu'ils s'empoisonnent ?
Sachons cultiver nos rides comme des sillons porteurs de moissons à venir.
- Non. Plutôt des orbites.
- Hautes et basses ?
Que le monde est vaste à celui qui s'ouvre !
- Et vous, vous êtes ?
- Surmédicamenté ! Bonjour !
Très fort taux de suicide chez les grands chefs cuisiniers. Est-ce qu'ils s'empoisonnent ?
Sachons cultiver nos rides comme des sillons porteurs de moissons à venir.
Les femmes savent très bien ce qu'elles veulent. Le seul problème c'est que ça ne dure qu'une fraction de seconde.
Derrière chaque grand homme il y a une porte.
L'ignorance délibérée est un vêtement qui tient chaud.
Chimères conceptuelles.
N'oubliez pas que les grosses pommes sont en général plus rouges que les petites.
Aussi inutiles que les excuses d'un tortionnaire maladroit.
Oubliez-moi, je vous en prie. Si vous le pouvez bien sûr. Je ne demande pas l'impossible.
Derrière chaque grand homme il y a une porte.
L'ignorance délibérée est un vêtement qui tient chaud.
Chimères conceptuelles.
N'oubliez pas que les grosses pommes sont en général plus rouges que les petites.
Aussi inutiles que les excuses d'un tortionnaire maladroit.
Oubliez-moi, je vous en prie. Si vous le pouvez bien sûr. Je ne demande pas l'impossible.
Depuis que j'ai rencontré le Grand Anus, ma vie a basculé.
Que le Grand Anus soit loué ! Gloire au Grand Anus ! Le Grand Anus ne vous aime pas. Le Grand Anus ne pense pas à vous pour la raison que le Grand Anus ne pense pas. Avant qu'il ne devienne le Grand Anus Divin, personne n'aimait Sa Grandeur. Et il est arrivé un jour où Sa Plénitude a été traitée de trou du cul (T.D.C. pour les initiés). Ce jour-là, le Grand Anus était né ! Gloire au Grand Anus ! Il n'y qu'une façon d'honorer le Grand Anus et c'est de se prosterner. Une fois par jour au coucher du soleil. Et que le Grand Anus vous bénisse vous et votre descendance !
(Note historique: Stephen Hawking en serait le premier prophète. Il vous appartient de découvrir pourquoi.)
Superman vieillissant prend l'ascenseur.
Que le Grand Anus soit loué ! Gloire au Grand Anus ! Le Grand Anus ne vous aime pas. Le Grand Anus ne pense pas à vous pour la raison que le Grand Anus ne pense pas. Avant qu'il ne devienne le Grand Anus Divin, personne n'aimait Sa Grandeur. Et il est arrivé un jour où Sa Plénitude a été traitée de trou du cul (T.D.C. pour les initiés). Ce jour-là, le Grand Anus était né ! Gloire au Grand Anus ! Il n'y qu'une façon d'honorer le Grand Anus et c'est de se prosterner. Une fois par jour au coucher du soleil. Et que le Grand Anus vous bénisse vous et votre descendance !
(Note historique: Stephen Hawking en serait le premier prophète. Il vous appartient de découvrir pourquoi.)
Superman vieillissant prend l'ascenseur.
dimanche, avril 09, 2006
Sous le velours
De W pour B
Sous le velours
Sa peau me glace
D'une chaleur suffocante
Ses yeux me rivent mon clou
Sur une croix de bûcher
Sa cheville m'est à une hauteur
Inaccessible
Son pied m'écrase
D'une ombrageuse
Extase
Elle
Moi l'oiseau sans ailes
Ver de terre sur une terre
De verres de cristal
D'un regard mon frêle esquif
Chavire
Son bras me pousse
Du haut de mes basses falaises
Sa main guérit mon mal à l'aise
Elle
Moi seul sans elle
Un animal blessé
Qui du fond d'une caverne
Hurle à la mort
La mort c'est de n'avoir
Plus rien à dire
Quand on y pense
Et l'amour c'est d'avoir
Tout à dire
Sans qu'on y pense.
De W pour B
Sous le velours
Sa peau me glace
D'une chaleur suffocante
Ses yeux me rivent mon clou
Sur une croix de bûcher
Sa cheville m'est à une hauteur
Inaccessible
Son pied m'écrase
D'une ombrageuse
Extase
Elle
Moi l'oiseau sans ailes
Ver de terre sur une terre
De verres de cristal
D'un regard mon frêle esquif
Chavire
Son bras me pousse
Du haut de mes basses falaises
Sa main guérit mon mal à l'aise
Elle
Moi seul sans elle
Un animal blessé
Qui du fond d'une caverne
Hurle à la mort
La mort c'est de n'avoir
Plus rien à dire
Quand on y pense
Et l'amour c'est d'avoir
Tout à dire
Sans qu'on y pense.
samedi, avril 08, 2006
mardi, avril 04, 2006
lundi, avril 03, 2006
Que se passe-t-il si vous mettez un aristocrate dans un accélérateur de particules ?
Et bien, quelques minutes, quelques jours et peut-être même plusieurs semaines plus tard, il pleut.
Je connais les noms de chacun des grains de sable du Sahara. C'est avec leurs numéros de téléphone que j'ai des difficultés.
Condoleezza Rice a une chevelure à l'épreuve des balles. Jacques Villeneuve a une rechute de mauvaise voiture. Quant à Georges Bush, je ne sais vraiment pas ce qu'il a.
Et bien, quelques minutes, quelques jours et peut-être même plusieurs semaines plus tard, il pleut.
Je connais les noms de chacun des grains de sable du Sahara. C'est avec leurs numéros de téléphone que j'ai des difficultés.
Condoleezza Rice a une chevelure à l'épreuve des balles. Jacques Villeneuve a une rechute de mauvaise voiture. Quant à Georges Bush, je ne sais vraiment pas ce qu'il a.
dimanche, avril 02, 2006
Ce n'est pas que je ne vous ai pas compris, mais plutôt que je suis un mauvais récepteur pour votre message. Enfin, tel qu'il est formulé. Au moins.
Une chaise derrière les barreaux. De chaise.
Quand on avance l'heure, il ne faut pas croire que la journée est plus longue d'une heure. Mais c'est quand même à ce moment-là que je me sens le plus près des Maritimes.
Une chaise derrière les barreaux. De chaise.
Quand on avance l'heure, il ne faut pas croire que la journée est plus longue d'une heure. Mais c'est quand même à ce moment-là que je me sens le plus près des Maritimes.
samedi, avril 01, 2006
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